Pour la deuxième année consécutive, la Ville de Seraing a décidé d’inviter tous les rhétos de chaque école du territoire à la projection d’un film diffusé dans le cadre de la Journée Internationale des Droits des Femmes.
Le 1er mars 2019, la Ville de Seraing, à l’initiative de l’Echevine de l’Egalité Homme/Femme, Julie Geldof, avait organisé une séance de cinéma un peu particulière. A l’occasion de de la Journée Internationale des Droits des Femmes, célébrée le 8 mars, elle avait décidé d’inviter les rhétos issus de l’ensemble des écoles de l’enseignement secondaire du territoire sérésien à assister à la projection du film « Les Suffragettes » ; près de 250 élèves avaient d’ailleurs répondu présents.
Ce long-métrage, qui met en scène une organisation de femmes britanniques qui décide de se battre pour obtenir les mêmes droits que les hommes, avait pour objectif principal de sensibiliser les plus jeunes à la démocratie et aux combats menés par les femmes pour obtenir les mêmes avantages que la gent masculine.
A la poursuite du même objectif, l’Echevine de l’Egalité Homme/Femme a décidé, soutenue par les autres membres du collège, de réitérer cet événement le 4 mars prochain avec la projection d’un nouveau film : « Made in Dagenham ». Ainsi, des invitations ont été envoyées à l’ensemble des écoles de l’enseignement secondaire du territoire de la Cité du Fer, tous réseaux confondus. Pour l’heure, l’IPES de Seraing et l’Athénée Royal de Lucie Dejardin ont répondu favorablement à la demande et enverront donc tous leurs élèves de sixième au Centre Culturel de Seraing.
Les participants sont donc attendus à 9h00 au sein de l’établissement sérésien où Julie Geldof prendra la parole durant quelques minutes avant le début du film. Une fois la projection terminée, les étudiants présents seront invités à prendre un verre de soft avant de quitter les lieux.
Quelques mots sur le long-métrage :
Il s’agit d’un film biographique britannique sorti en 2010 qui relate l’histoire de plusieurs ouvrières de l’usine Ford de Dagenham qui se battent, fin des années 60, pour faire valoir leurs droits et obtenir un salaire égal à celui des hommes.
